Les quatre données secrètes d’un bon CDO

De vier data-geheimen van een succesvolle CDO
Les entreprises optent de plus en plus pour un CDO par l'augmentation d'importance des données.

Le recrutement d’un Chief Data Officer (CDO) gagne en popularité dans de nombreuses entreprises. Une gestion optimale des données est en effet devenue indispensable. Une bonne approche en ce sens fait office d’hormone de croissance au sein du secteur.

L’intérêt soutenu pour les données n’est pas neuf. En 1974 déjà, l’IEEE organisait sa première conférence Massive Storage Systems and Technology. L’exposition publique des données et la prise de conscience de leur importance par le reste du monde sont cependant plutôt récentes. La Harvard Business Review affirme même que le métier de data scientist est le plus glamour du 21e siècle. Pourquoi ? Que savent les leaders du marché sur les données qui leur permettent de prendre une longueur d’avance sur leurs concurrents ?

1. Les données disent la vérité, à condition de leur poser la bonne question

Tout ce que les clients consultent ou achètent en ligne génère une masse croissante et infinie de données. Les nouvelles structures architecturales, spécialement conçues pour la conservation et le traitement de cette montagne d’informations, apportent une réponse à ce phénomène. Des disciplines telles que le Master Data Management peuvent également vous aider à nettoyer et structurer les données collectées. De quoi vous permettre de rendre vos informations disponibles « agiles », et surtout exploitables. Ces chiffres pourront ensuite être convertis en narratives, un outil précieux pour les marketeers. Il est en outre crucial de ne pas enfreindre malencontreusement le règlement général sur la protection des données (RGPD). Étant données les amendes exorbitantes, une bonne gestion des données est essentielle.

2. Les données offrent un plus, à condition de bien les analyser

Des données optimisées ne dopent pas nécessairement les ventes. Les ordinateurs sont capables de scanner une quantité illimitée de données, et d’identifier ainsi des problèmes, mais dégager des solutions potentielles requiert un cerveau humain.

L’apprentissage est la clé du succès. Des conclusions inattendues ou inhabituelles ? Les bons CDO s’en réjouissent, car ils savent que les données sont capricieuses. Ils ne réagissent donc pas exagérément aux nouvelles données, tout en sachant qu’elles ne doivent pas être sous-estimées. Un CDO est un penseur inductif, qui utilise donc des données inattendues pour lancer de nouvelles idées.

S’en tenir à une seule vision, basée sur un seul modèle, en maintenant une cohérence, n’est plus viable. Les organisations digitales sont dynamiques et les bons CDO utilisent les informations recueillies pour sonder les zones grises, que l’on aurait évitées auparavant. Ces zones grises peuvent s’avérer précieuses, avec l’aide de données qui peuvent renvoyer vers des clients, produits, magasins, etc. Les données ainsi obtenues sont minutieusement exploitées.

3. Les données dopent la confiance et créent une culture, à condition de savoir transmettre leur valeur

Engager un CDO constitue une première étape optimale pour démontrer l’importance des données et les intégrer dans le reste de l’entreprise. Un bon CDO contribuera d’ailleurs à la démocratisation des données. La confiance dans les données devrait être étendue davantage et est en outre cruciale pour le moral de l’organisation.

Les CDO humanisent les données, en les transposant en informations transparentes et identifiables. Il est par exemple tout indiqué de permettre aux collaborateurs de prendre l’initiative avec les données qu’ils estiment pertinente. Un simple outil convivial peut permettre de le faire.

4. Les données stimulent l’innovation, à condition de réussir à faire collaborer de bonnes équipes

Les CDO représentent leurs mission et vision auprès des parties prenantes et font ainsi office d’advocates of change. Il est vivement recommandé de développer une culture axée sur les données, qui favorise la confiance dans les données et qui permet de prendre des décisions plus avisées au moyen des données. On contribue ainsi à l’efficacité de chaque travailleur et on met la quête individuelle d’innovations potentielles à portée de main. L’innovation est inhérente à la gestion active des données. Collecter des données revient à cultiver des données : plus on peut voir loin, plus on entreverra de possibilités.

Les outils adéquats favorisent la collaboration au sein de l’organisation. Selon une étude récente, élargir les équipes BI et leur confier la gestion de projets de données ambitieux ont une influence positive. Tant les caractéristiques que le planning en tant que groupe et talent individuel améliorera les performances.

Source : Information-age.com

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Auteur

Elke De Wit est Product Manager des formations et des conférences dans le domaine de la gestion informatique, de la gestion de projets, de développement personnel et du soutien managérial. Elle suit de près les tendances et les évolutions en la matière et conçoit sur cette base des formations et des conférences axées sur la pratique, qui répondent aux besoins actuels des acteurs du marché.

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